miércoles, 26 de mayo de 2010

MAÏA



Femme qui porte le monde – Atlas n’est plus –

Je déroge à ton pouvoir

Tu es sa fille Maïa, mère de Zeus

Accablée sous ta charge, tu te tiens à jamais

Devant le lieu drapé de nuages et d’obscurité

Où le jour et la nuit s’approchent l’un de l’autre

Et se saluent.

...

Hercule en Caucase vit ton père

Pour se renseigner au sujet des Pommes

Et délivra Prométhée des griffes de l’aigle

Tes filles, les Hyades, les Pluvieuses étoiles

Jouent à cache-cache en mai et novembre

Avec Dionysos enfant dans les bras

Récompense de leurs soins.

...

Maïa, demi-sœur entre sept

Qu’Orion poursuivit, mère d’Hermès,

Ta sœur Electre leva les premiers murs de Troie

Six d’entre vous sont visibles

Laquelle es-tu ? est-ce ta zone ?

Seuls ceux dont le regard perce

Voient que tu remplaces la couche d’ozone.

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